Travailler autrement, prendre des risques, réussir ou rebondir. La thématique est vaste, c’est donc à deux voix que s’est déroulé la présentation.
Les coopératives d’entreprise
La première partie assurée par Yannick Omnes, qui a remplacé au pied levé Stéphane Ridel, a porté notamment sur les coopératives d’entreprise, véritable transformation structurelle. Elles permettent à chacun d’être acteur et partie prenante des décisions. Proche de l’économie sociale et solidaire elles se déclinent sous plusieurs formes, SCOP, SCIC, CEA, … Cette dernière notamment révolutionne le monde de l’entrepreneuriat en proposant le statut d’entrepreneur salarié. Chacun gère son activité, de la prospection à la facturation, mais bénéficie de la mutualisation de certains services et d’autres avantage comme la formation interne.
La culture de l’échec
C’est Guilhem Bertholet qui a pris le relais pour un témoignage de son expérience dans le monde de l’entrepreneuriat. Créateur de nombreuses sociétés il a essuyé de nombreux échecs et en parle toujours avec humour.
Son état d’esprit : l’échec est possible, mais il faut tout faire pour qu’il n’arrive pas ou le plus tard possible. De ses expériences il retire plusieurs “bonnes pratiques”, tant au niveau de l’appréhension de l’échec en lui-même : l’autoriser chez les autres, apprendre à le voir arriver… qu’au niveau personnel : soignez son entourage, parlez, gardez des activités en dehors…